Publications similaires
Algérie mon Amour là où…Il y a tout sauf rien !
Algérie mon Amour là où…
Il y a tout sauf rien !
Bonjour essalem azul à bon entendeur !
Aujourd’hui je vous raconte mon pays
Ses lumières et ses senteurs
Sa rudesse et sa douceur
Le silence de ses contrées
Son peuple et ses clameurs
Cherchez bien vous ne les trouverez point ailleurs
Nous avons des « mers de terre » et leur horizon plat
Et sous terre des mers immenses et douces à la fois
Nous avons du sable blanc rouge jaune et des couleurs nuancées
Et aussi des roches sur pied taillées d’une allure sculptée
Nous avons des forêts des steppes et des vallées
Des rivières et des lacs reflétant les cimes blanches des montagnes éloignées
Nous avons des steppes arides et des palmeraies
Mais aussi des rivières des lacs et des vergers
A l’est un levé du soleil et ses rayons dispersés
Et à l’ouest son coucher de rêve annonçant une nuit étoilée
Nous avons tant de choses encore et partout
Tu entends le chant des cigales et l’ululement du hibou
Des bâtisses en pierre et d’autres en bambou
Des rivages et des plages à faire raisonner les fous
Et même des marécages
Derrière et devant vous..
mais quand enfin on arrive au bout
On étale les grands et derniers atouts
L’art culinaire magique peu ou prou
Mais qui te laisse rassasié de mets à tous les goûts
Foisonné de merveilles et repu jusqu’au cou
Que te reste t-il à part vouloir savoir : Algérie c’est quand qu’on va où ?
Ça par contre tu ne le sauras jamais !😄
Déclic rouge et des clics bleus
Il suffit d’un clic
Pour fuire la réalité
Rentrer dans le virtuel
Fondre dans la « méta-physique »
Il suffit d’un clic
Pour sombrer dans des addictions
Oublier le temps, obéir au télécran
Et mener une vie fantastique
Il suffit d’un clic
Pour être hypnotisé
Aveuglé, lobotomisé
Et vivre une vie tonique
Il suffit d’un clic
Pour s’émerveiller
S’extasier
S’éblouir et vivre une vie euphorique
Il suffit d’un clic
Pour parcourir le monde
Voir l’horizon à la ronde
Nouer des amitiés chics
Il suffit d’un déclic
Pour comprendre aussi qu’un clic
permis de renouer avec le réel
Le palpable et le physique
Il suffit d’un déclic
Pour rester maître de soi
Résister aux envies, maîtriser les émois
En repoussant l’envie du clic
Il suffit d’un déclic
Pour ouvrir les yeux
Trouver le quotidien merveilleux
Dans un environnement féerique
Il suffit d’un déclic
Pour changer d’avis changer de vie
Chasser le superflu et revenir au réel, à l’authentique
Il suffit d’un déclic
Pour réinventer l’amour le semer aux alentours
et le déclarer commun, tout public
Il suffit d’un déclic
Pour comprendre que notre monde est unique
qu’il faut en prendre soin pour le rendre encore plus magnifique
Il suffit d’un déclic
pour comprendre que tout métier est honorable
Toute opinion est façonnable
Et
Que toute vie, toute âme, est aussi unique
Il suffit d’un déclic
Pour voir clair, savoir penser et savoir faire
Comprendre que l’essentiel n’est pas dans l’amassage du « fric »
Il suffit d’un déclic
Pour retrouver son ego mesuré, son « soi »
Libre, et nageant dans la joie
En dépit des « que dira-t-on » et des critiques
Il suffit d’un déclic
Pour sauver son âme
L’élever au plus degré
En l’accompagnant d’incantation et de musique
Il suffit d’un déclic
Pour prendre conscience
Que le savoir et la science
Sont aujourd’hui à la portée d’un clic
Alors là On reclique ou on reste sur notre déclic ?
Maintenant je sais
Maintenant je sais
Maintenant je sais
Que l’infiniment grand n’est que poussière
Que l’infiniment long n’est qu’éphémère
Tout est illusion.. bien vraie
Maintenant je sais
Comme le temps qui ne va que dans un sens
Les regrets n’amènent aucune délivrance
Ce qui est fait est fait
Maintenant je sais
Rester prisonnier du passé
C’est tourner en rond. C’est creuser le fond
C’est vouloir être libre en étant « nassé »
Maintenant je sais
Que la confiance se gagne avec le temps
Non au sourire ni aux lotions qui sentent bon
Fussent-ils le sourire d’un ange ou les effluves d’une fée
Maintenant je sais
Que le hasard dès fois fait bien les choses
Mais si on s’y prend mal on perd tant de choses
Et le hasard ne sera pas là pour réparer
Maintenant je sais
Que vieillir est une chance de vivre
Qu’on est en dehors du temps quand on est ivre
Et un jour on subit la « chance » de « reposer en paix »
Maintenant je sais
Que les Vrais Amis qui s’en vont
Sur un haussement de ton
Reviennent toujours en souriant comme si de rien n’était
Maintenant je sais
Que les questions posées
Si aucune réponse ne leur est trouvée
Il suffit de les ignorer pour convenir qu’elles n’ont jamais existé
Maintenant je sais
Que prêter l’oreille à autrui
C’est savoir écouter
Si ça soulage votre prochain, vaut mieux acquiescer
Maintenant je sais
Que le silence peut-être reposant ou anéantissant
Qu’il est aussi le signe de l’acceptation ou de la résignation
Mais qu’il peut aussi être une façon d’aimer
Maintenant je sais
Que l’amour c’est beau
Et que les amours sont belles
Mais deviennent laides quand elles battent des ailes
Maintenant je sais
Que tout ce qui brille peu devenir terne
Suffit que la lumière se mette en berne
Ainsi les beaux yeux… et les inévitables cernes
Maintenant je sais
Qu’on a beau être fort-jeune-et-beau des jours et des années
Nos forces sous le poids des épopées amoncelées
Finissent toujours par ployer
Maintenant je sais
Qu’en face de l’incomparable on peut toujours comparer
Un rayon de soleil et le sourire d’un bébé
Une satisfaction égoïstement personnelle et un devoir acquitté
Maintenant je sais
Que l’hypocrisie est un mensonge envers soi
Que notre prochain n’est que le miroir de notre foi
Que lui-même peut être trompeur et de mauvais aloi
Je sais tout ça mais pas que cela
Plus je sais oui mieux ça vaudra
Mais plus je demande à savoir
Plus me manquera le temps pour tout avoir
And life goes on…
W.S.
26 juillet 2022
Humilité
On croit savoir
Mais sait-on vraiment ?
On se projette dans le même miroir
Mais a-t-on la même perception
Pour cogiter analyser et voir
Avec justesse Identiquement
Le blanc le rouge et le noir
Et les rides comme empreintes du temps
Rien n’est moins sûr
Car on s’attelle à chercher la preuve
De la « vérité pure »
De la pureté de l’eau qui nous abreuve
On croit savoir
Mais sait-on vraiment ?
Que la vie vire vite au cauchemar
Si on perd la sérénité la foi et l’espoir
Savent-ils eux les charlatans
Qu’ils ont travesti la science en l’orientant
Vers l’hypothétique désir des rois et des sultans
En cherchant sous le microscope la jeunesse d’antan
En ignorant le temps
En croyant pouvoir stopper le vent
Savent-ils qu’ils avancent en reculant
A vouloir indéfiniment cumuler les ans
Au fond c’est la peur qui les anime
Comment, si riches et puissants ils terminent
Comme les autres qu’ils nomment « vermine «
Et dont le rôle, devant eux, est de courber l’échine
Ces gens là « ne pensent pas monsieur »*
« Ils pensent pas » ! Vraiment non !
Leur pire ennemi c’est Dieu
Et leur guide c’est Satan et son « droit canon »
Ils fustigent la vérité, la traquent
Et sèment le mensonge la fausseté et l’arnaque
Ils sont laids affreux et méchants
Ils le resteront et c’est ainsi qu’ils étaient avant
La meilleure preuve qu’ils auront
C’est quand ils trépasseront tout en ignorant
Comment les asticots les dévoreront
Si ce n’est pas un feu terrestre qu’ils animeront
Jamais ils n’auront eu la réponse
À leur questionnement sur l’existence
Ils sauront peut-être que la mort
Ce n’est que le début de quelque chose qui leur dira qu’ils ont eu tort !
W.S . 11.01.23, 06h23
* Emprunté à J. Brel
La vie m’a appris
La vie m’a appris…
Maintenant je sais
Que l’infiniment grand n’est que poussière
Que l’infiniment long n’est qu’éphémère
Tout est illusion.. bien vraie
Maintenant je sais
Comme le temps qui ne va que dans un sens
Les regrets n’amènent aucune délivrance
Ce qui est fait est fait
Maintenant je sais
Rester prisonnier du passé
C’est tourner en rond. C’est creuser le fond
C’est vouloir être libre en étant « nassé »
Maintenant je sais
Que la confiance se gagne avec le temps
Non au sourire ni aux lotions qui sentent bon
Fussent-ils le sourire d’un ange ou les effluves d’une fée
Maintenant je sais
Que le hasard dès fois fait bien les choses
Mais si on s’y prend mal on perd tant de choses
Et le hasard ne sera pas là pour réparer
Maintenant je sais
Que vieillir est une chance de vivre
Qu’on est en dehors du temps quand on est ivre
Et un jour on subit la « chance » de « reposer en paix »
Maintenant je sais
Que les Vrais Amis qui s’en vont
Sur un haussement de ton
Reviennent toujours en souriant comme si de rien n’était
Maintenant je sais
Que les questions posées
Si aucune réponse ne leur est trouvée
Il suffit de les ignorer pour convenir qu’elles n’ont jamais existé
Maintenant je sais
Que prêter l’oreille à autrui
C’est savoir écouter
Si ça soulage votre prochain, vaut mieux acquiescer
Maintenant je sais
Que le silence peut-être reposant ou anéantissant
Qu’il est aussi le signe de l’acceptation ou de la résignation
Mais qu’il peut aussi être une façon d’aimer
Maintenant je sais
Que l’amour c’est beau
Et que les amours sont belles
Mais deviennent laides quand elles battent des ailes
Maintenant je sais
Que tout ce qui brille peu devenir terne
Suffit que la lumière se mette en berne
Ainsi les beaux yeux… et les inévitables cernes
Maintenant je sais
Qu’on a beau être fort-jeune-et-beau des jours et des années
Nos forces sous le poids des épopées amoncelées
Finissent toujours par ployer
Maintenant je sais
Qu’en face de l’incomparable on peut toujours comparer
Un rayon de soleil et le sourire d’un bébé
Une satisfaction égoïstement personnelle et un devoir acquitté
Maintenant je sais
Que l’hypocrisie est un mensonge envers soi
Que notre prochain n’est que le miroir de notre foi
Que lui-même peut être trompeur et de mauvais aloi
Je sais tout ça mais pas que cela
Plus je sais oui mieux ça vaudra
Mais plus je demande à savoir
Plus me manquera le temps pour tout avoir
And life goes on…
W.S.
26 juillet 2022
Des hommes des choses et des manières
Il y a moult façons de mener sa vie
En nomades puisant l’eau dans les puits
En sédentaires attachés à la terre et aux racines enfouies
Ou en voyageurs dans les jets privés qui servent de nids
Il y a la vieille génération en passe de passer
Usée par le labeur et le temps mais reste enchantée
Et la nouvelle toute fraîche avide d’amour et de curiosité
Qui croit prématurément tout savoir mais dont on sait tout sans rien dévoiler
Il y a les têtes chapeautées ou enturbannés
Des têtes nues ou différemment colorées
D’autres encore dessinées ou complétement voilées
Une richesse et une diversité impossible à uniformiser
Il y a la tradition des uns et la tendance des autres
Les sans dieu sans prophète ni apôtre
Les dévots convaincus de leurs bigoteries
Et le genre en tout genre et femen dans l’hystérie
Il y a les citoyens de souche et les exilés
Les réfugiés les SDF et les immigrés
Les clandestins et les diplomates parachutés
C’est ainsi que les classe la société déshumanisée
Les choses
Celles qui donnent envie
Celles qui repoussent
Celles qui agrémentent la vie
Les seules à être aimées de tous
Des montres de luxe et celles à deux sous
Qui donnent la même heure ici là-bas et partout
Des costumes haute couture et des joyaux en or
Exhalant les fragrances de Cardin ou de Dior
Il y a les choses à la mode très convoitées
Et les choses dites « ringardes » temoins du passé
Deux tendances qui cohabitent sans se heurter
Les unes font « frivole » les autres « dépassé »
Il y a les choses qui enivrent l’âme
Quand elle est joyeuse ou quand elle est triste
Chez les uns c’est le sang du Christ
Chez les autres c’est tout simplement haram
Des manières
La manière rude rustre et sans tact
Avec de la véhémence dans tous ses actes
Et celle gentille douce, qui décontracte
Qu’on découvre généralement au premier contact
L’air timide ou tristounet pour de vrai ou de faux
Le doigt en l’air façon patron chiant
Discourir le doigt en l’air et le regard fuyant
Tous réunis dans un vagon de métro
Orgueilleuse avec fierté mal placée
Rancunière toujours les sourcils froncés
Bienveillante le coeur sur la main, décontractée
C’est cette qualité que j’espère voir foisonner
Voir foisonner… Demain…
La manière coeur sur la main
Chez tous les humains !
Sans que personne n’y soit contraint !